Si vous le désirez vous pouvez signer la pétition (votre nom et votre mail n'apparaîtront pas en cochant la case Non). Vous pourrez aussi laissez un commentaire en prenant un pseudo. Cliquez alors ci-dessous =

http://www.petitions24.net/remplacement_couloir_aerien_nord_toulouse_pour_bruit_et_securite

                                       www.flightradar24.com/  


NECESSITE DE REMPLACER LE COULOIR AERIEN NORD DE TOULOUSE BLAGNAC POUR  LES  AVIONS DECOLLANT VERS LE NORD


Pour stopper le bruit aérien et supprimer le danger potentiel créé. Des dizaines de milliers de personnes sont concernées 

La Loi donne un droit inaliénable à la sécurité et à la tranquillité pour tous

Et c'est avant une catastrophe éventuelle, qu'il faut appliquer le principe de précaution ....Ce n'est nullement à souhaiter mais si elle se produit, les décideurs et toutes les personnes concernées par la tutelle de l'aviation civile devront répondre d'une énorme aberration concernant les couloirs et trajectoires des avions en région toulousaine.......


Des avions de ligne décollant de Blagnac à destination du nord et gênant par leur bruit des dizaines de milliers de personnes, des avions en procédure d'approche qui volent à 1 000 mètres d'altitude à encore 50 km de l'atterrissage !!! Honteux, bruyant et dangereux ! Alors que LE COULOIR NORD-OUEST QUI EXISTE DEJA , TRES PEU UTILISE , passant au-dessus d'une zone à très faible densité de population, EST LA  SOLUTION PUISQU'IL A DEJA ETE EMPRUNTE PONCTUELLEMENT PAR DES AVIONS A DESTINATION DE PARIS .  Et ensuite, les avions rattrapperaient directement le couloir national principal pour les destinations du Nord sans pénalisation de temps et de kérosène.........


Voici ci-dessous la situation actuelle aberrante créée, illustrée avec deux exemples parmi des milliers d'autres =

1- Par vent de secteur nord, au départ = vol EZY712H Toulouse/Orly - 3 juin 2013 - 09H03
Il fait ce "S" incompréhensible, prononcé, pour survoler bruyamment des dizaines de milliers de personnes à basse altitude au lieu de partir dans le couloir Nord-Ouest pour rattraper directement le couloir national Nord. Comme dit, ce couloir Nord-Ouest est très peu fréquenté et il passe au-dessus d'une zone peu peuplée = la montée serait plus tranquille, plus rapide, directe, sans pénalisation de kérosène ni perte de temps, cap au 323 du décollage jusqu'à l'est de Beaumont de Lomagne pour ensuite passer à l'ouest de Catelsarrasin et engainer le couloir Nord National. Et tranquillité pour la vallée de la Garonne, les pilotes, passagers et controleurs.       

                         

Voici donc la solution à généraliser et qui résoud le problème
Le pilote du vol Air France 
AF793JZ du 6 février 2015 à 07H45 l'a appliquée
pour son avion au départ de Toulouse pour Paris =

             

2- Par vent de secteur sud, à l'arrivée = vol AFR364V CDG/Toulouse -4 septembre 2014 -07H56
C
et avion passe au-dessus de Montbéton à seulement 950 mètres d'altitude (atterrissage à 50km !!!), au-dessus de Montech à 915 mètres (atterrisage à plus de 40 km),  au-dessus de Mas-Grenier à 900 mètres (atterrissage à 35 km).... Encore du bruit inutile... Et bonjour les risques générés par ces milliers de vols bien trop longs à très basses altitudes = problèmes techniques, avaries, turbulences et perte de portance risquant de plaquer les avions au sol, les oiseaux dans les réacteurs (les 25 dernières années, 200 accidents et 200 morts....), sans oublier les avions de tourisme et les ULM (vols de 150 mètres mini à 6 000 mètres maxi...) !

                                                                         


1 – SITUATION ACTUELLE=

Du fait du développement de Toulouse, la Haute-Garonne est le département qui a vu sa population le plus augmenter en France ces dernières années et le Tarn et Garonne va devenir le département ayant la plus forte augmentation démographique !

Logiquement donc, toute la région comprise entre les deux capitales Toulouse et Montauban, soit dans un axe Sud/Nord, voit sa population augmenter très rapidement.

Et cette population se trouve justement sous le couloir aérien Nord, dans les nuisances         sonores aériennes et un manque de sécurité flagrant.   On arrive donc à l'aberration suivante = le nombre d'habitants augmente très vite en même temps que le nombre de vols au-dessus d'eux à moyennes, basses et très basses altitudes !                                                 

Les couloirs aériens ont été modifiés à plusieurs reprises.
Rien n'empêche donc de hâter la suppression, pour les avions décollant vers le Nord, de ce couloir Nord de l'aéroport de Toulouse qui doit disparaître au plus vite, surtout que des solutions simples existent.

Le développement suivant explique ce qui se passe et suggère les remèdes à cette situation incompréhensible.
 

2- COMMENT SUIVRE LES AVIONS EN TEMPS REEL... ET LEURS BRUITS ! =

Avant de discuter du problème, les personnes intéressées ou concernées pourront consulter la carte/radar donnant en temps réel toutes les informations (Compagnies, immatriculations, types d'avions, caps, altitudes, vitesses, destinations, etc...) sur les avions passant dans le couloir Nord, bien que tous ne soient pas pointés.

Vous pourrez centrer la carte sur la région et Toulouse Blagnac, zoomer, pointer les avions en cliquant sur leurs icônes, les suivre, etc....

De plus, en cliquant sur le rond bleu et blanc matérialisant l'aéroport, vous aurez, toujours en temps réel, les arrivées d'avions avec leurs provenances (Arrivals) et les départs avec leurs destinations (Departures).

Voici l'adresse du site =

www.flightradar24.com/

Attention = les avions ne sont pas tous pointés.....

Pour interpréter quand vous cliquez sur un avion, aller dans "Settings" et vous pourrez afficher la vitesse en Km/h et l'altitude en mètres. Sinon =     
Altitude : 1000 Ft (pieds) = 300 mètres et Vitessese = 1 Kt (noeud) = 1,8 Km/h             
Exemple : 3 300 ft = 1 000 mètres d'altitude et 350 kt = 630 Km/h.  
             


3 – CONSTATS ET SOLUTIONS =

Chaque personne subit le bruit des avions de façons différentes, certaines étant plus sensibles que d'autres.

Afficher un nombre de décibels subi n'a donc qu'une valeur toute relative, surtout en ce qui concerne les bruits aériens.

En effet, ceux-ci ne sont pas du tout de la même nature que ceux par exemple des véhicules terrestres.

Un bruit d'avion de ligne provient du haut, de l'altitude, se diffuse comme une chape sur plusieurs kilomètres, dure bien plus longtemps et s'insinue partout.

Le couloir aérien Nord passe au-dessus des villes suivantes et de leurs environs =

AUSSONNE – MERVILLE – Ouest GRENADE -AUCAMVILLE – VERDUN-SUR-GARONNE – DIEUPENTALE - MAS GRENIER – BESSENS - MONTBEQUI – FINHAN – MONTBARTIER - MONTECH – ESCATALENS - LACOURT SAINT-PIERRE - LA VILLE DIEU DU TEMPLE – LABASTIDE-DU-TEMPLE- MEAUZAC – LA FRANCAISE ....

Sans oublier MONTAUBAN quand les vents de Sud et d'Est font que les avions survolent à basse altitude la capitale du Tarn et Garonne, ni toutes les villes environnantes telles : BRESSOLS - LABASTIDE-SAINT-PIERRE - GRISOLLES.....

Et puis aussi tous les avions d'Airbus Industries qui font leurs essais, nécessaires bien sur mais qui se retrouvent trop souvent à de très basses altitudes au-dessus de villes très peuplées. Il y a là un danger certain en cas de problèmes et la sécurité voudrait  qu'ils ne survolent que des zones à faible densité de population. C'est assez  incompréhensible de voir cet état de fait .......

 

Si les avions venant des villes étrangères au sud de Toulouse passent à plus de 10 000 mètres d'altitude dans ce couloir aérien Nord sans procurer une vraie gêne, tous les avions décollant de Blagnac et se dirigeant vers le Nord pour Orly, Charles de Gaulle, Amsterdam, Bruxelles et d'autres destinations au nord, empruntent le fameux couloir et survolent les villes en-dessous et leurs environs, jour et nuit à moyenne, basse et parfois à très basse altitude.

Il y a plus d'une centaine de vols de ce type chaque jour et nuit.

Rien que les navettes Toulouse-Orly-Charles de Gaulle, principalement par Air France et EasyJet représentent des dizaines de survols journaliers (le nombre de ces navettes n'a pas cessé d'augmenter.....).

En périodes de pointes, il peut y avoir une douzaine d'avions à l'heure.

La nuit, le droit au repos s'étale de 22H00 à 06H00 mais les survols se produisent bien après 22H00, les plus dérangeants se situant aux environ de 02H30, 03H00, 03H10.....

Rappelons que le bruit d'un avion dure entre une minute et une minute trente.

Même à 3 500 mètres d'altitude (comme par exemple au-dessus de Montauban, Montech ou Escatalen), ce bruit venant du haut, tombe en entonnoir inversé, ce en s'élargissant et s'insinue partout dans les habitations.

Et que dire pour pour les habitants d'Aussone, Merville, Aucamville et même Verdun …..

Rappelons que les pistes de l'aéroport sont situées sensiblement dans l'axe Nord Ouest/Sud Est, c'est à dire cap au 323 et cap au 143.

Et il faut connaître la règle aéronautique intangible, à savoir que =

LES AVIONS DECOLLENT ET ATTERRISSENT TOUJOURS FACE AU VENT.

Donc, suivant les directions du vent, les avions partent ou arrivent dans un sens ou dans l'autre.

Or, concernant les décollages, quelque soit le vent dominant, les avions allant vers Orly, Roissy, Amsterdam, Bruxelles et autres destinations au nord, empruntent le couloir Nord =

I-VENTS DE SECTEURS NORD et OUEST =

                                                               
On voit que toutes les villes du couloir et leurs environs sont concernées.

Le couloir nord (70) permet de partir au nord-ouest MAIS le trafic aérien est contraint de faire prendre cap au nord aux avions qui ont donc les way points pour ce cap =
- décollage, cap environ au 323 au-dessus d'Aussonne, Merville et à l'ouest de Grenade
- puis cap au nord près d'Aucamville
- jusque entre Montech et La Française où ils bifurquent au nord-ouest en survolant, entre autres : Verdun-sur Garonne - Mas Grenier - Finhan - Montech - Meauzac - La Française ainsi que tous leurs environs.

Pourquoi donc s'acharner à faire voler un nombre important d'avions sur des zones à forte densité de population,
surtout qu'après Montech ou La Française, ils bifurquent plus à l'Ouest ?
                                       

En effet, faire ce "crochet"n'a aucune utilité, sinon qu'à gêner le plus grand nombre.....

D'autre part, l
e bruit dure entre une minute et une minute trente par avion, très gênant surtout le matin et le soir où il arrive que des avions se succèdent à deux ou trois minutes d'intervalles !

La durée cumulée de ces bruits d'avions à très basses, basses, moyennes altitudes dans le couloir Nord peut être estimée entre deux et trois heures par jour, ce qui est une durée importante.

II- SOLUTION PAR VENTS DE SECTEURS NORD ET OUEST  =


Il suffit donc de se servir du COULOIR NORD OUEST, couloir qui est très peu emprunté, ce pour soulager le plus grand nombre. On constate d'ailleurs fort bien sur la carte de la région que le nouveau tracé ferait passer les avions sur un territoire nettement moins peuplé, à des altitudes plus élevées.

 

Le couloir Nord sera conservé pour les avions venant des villes françaises et étrangères au sud de Toulouse, leurs altitudes étant supérieures à 10 000 mètres, pratiquement sans bruit et risque important.

Par contre, pour éviter au plus grand nombre ces survols, le bruit les accompagnant ainsi que les risques d'accidents, la solution est =

Suppression du couloir Nord pour les avions décollant vers le nord à moyennes, basses et très basses altitudes afin qu'ils passent au-dessus d'une zone moins peuplée et à des altitudes correctes.
                                                           

Solution= suppression du couloir nord (53) pour utiliser le couloir Nord-Ouest (29).


Les avions décolleraient et suivraient donc sensiblement la trajectoire suivante =
- Sud d'AUSSONNE cap sensiblement au 320
- Sud de MERVILLE
- Sud de GRENADE-SUR-GARONNE
- Sud d'AUCAMVILLE
- Est de BEAUMONT DE LOMAGNE
- Ouest de CASTELSARRASIN
pour mettre ensuite cap au Nord et rattraper les autres couloirs en direction du nord sans que cela ne fasse un détour pénalisant en temps et en kérosène, surtout que bien souvent après La Française, les avions obliquent légèrement à l'ouest.......

Autre gros avantage, même pour les pilotes et la sécurité des passagers, le cap à maintenir avant de bifurquer au Nord, serait pratiquement celui du décollage (sensiblement 320), ce pendant environ  les 40 premiers kilomètres !

Pour les controleurs aussi, la situation serait plus claire et facile.

Donc, décollages et montées en altitude rapides, pratiquement en ligne droite, tranquilles et sécurisés.

Et terminé cette aberration qui fait faire un "S" incompréhensible et inutile pour que les avions passent au-dessus d'une zone très peuplée ......
De plus, les avions se retrouveraient directement dans le Couloir Principal dédié aux vols pour les destinations du Nord !.


LA PREUVE QUE CE DEPART AU NORD-OUEST EST LA SOLUTION, C'EST QUE LE VOL
AIR FRANCE AF787JZ, LE 28 FEVRIER 2014, AU DEPART DE TOULOUSE VERS PARIS,
CE PAR VENT DE SECTEUR OUEST, L'EMPRUNTE....
IL SUIT EXACTEMENT LA TRAJECTOIRE DECRITE CI-DESSUS. IL N'EST PLUS DANS LE COULOIR NORD ET IL NE SURVOLE DONC
PLUS TOUTES LES VILLES SOUS CELUI-CI. CE VOL EMPRUNTE BIEN UN CAP AU NORD-OUEST, PASSANT A L'EST DE BEAUMONT DE LOMAGNE ET A L'OUEST DE CASTELSARRASIN.

CE FAIT PROUVE QUE LA PRESENTE ETUDE EST SENSEE PUISQUE
CE  VOL  CONFIRME  SON  EXACTITUDE ............ (voir ci-dessous)

  
                              

CAS PARTICULIER DES HABITANTS DE AUSSONNE, MERVILLE, GRENADE ET AUCAMVILLE =Ils subissent le maximum de bruits .... La solution ci-dessus peut donc être améliorée en faisant manoeuvrer légèrement les avions après le décollage pour qu'ils passent un peu plus au sud de leurs villes (déplacer la Balise d'Aussonne plus au sud).             
                                          

III- VENTS DE SECTEURS SUD et EST =

Un système de croisement d'avions incompréhensible et dangereux car ils arrivent et partent en se croisant......

 

Les avions décollant font une boucle ouest au sud de Toulouse (70)pour prendre le couloir Nord (76).

MAIS les avions venant du Nord pour atterrir à Toulouse Blagnac et ceux arrivant de l'Est passent AUSSI au-dessus des villes du couloir !!!

Et là, l'altitude n'est plus la même.

En effet, comme les avions décollant pour Orly, Charles de Gaulle et autres destinations nord se retrouvent avec ceux qui viennent du nord et de l'est pour atterrir, le contrôle aérien doit faire passer loin de l'atterrissage à basse et très basse altitude les avions venant du nord pour atterrir à Toulouse, ce en les croisant avec les autres....

Et en plus, il y a des avions venant des villes au sud de Toulouse et d'autres avec des caps transversaux qui coiffent tout ce trafic !

En résumé, on a un "millefeuilles" d'avions qui se superposent =

- Entre 1 000 et 2000 mètres : des avions arrivant sur Toulouse du nord et de l'est.

- Entre 2 000 et 5 000 mètres : des avions décollant de Toulouse.

- Entre 9 000 et 12 000 mètres : des avions venant du sud de Toulouse pour les aéroports du nord et d'autres avec des caps transversaux SO/NE et NE/SO......

Et on arrive a une aberration car souvent, même tôt le matin et tard le soir, en début de nuit= DES AVIONS LOIN DE L'ATTERRISSAGE SE RETROUVENT A TRES BASSE ALTITUDE !!!

                                                                                  EXEMPLES =

- SURVOLS DE MONTAUBAN A PARFOIS 1 300 METRES D'ALTITUDE ALORS QUE LES PISTES SONT ENCORE A 50 KM !

- SURVOLS DE MONTECH A PARFOIS 1 000 METRES D'ALTITUDE ALORS QUES LES PISTES SONT ENCORE A 40 KM !

- SURVOLS DE VERDUN-SUR-GARONNE A PARFOIS 700 0U 800 METRES ALORS QUE LES PISTES SE TROUVENT A 30 KM....

                                                                 
 D'où cela provient-il ?

En cas de vents de Sud ou d'Est, les avions décollent cap au Sud-Est (au 143) mais ils font une boucle au sud de Toulouse vers l'Ouest pour revenir aussitôt prendre le couloir Nord.....

De ce fait, à cause des croisements imposés avec les avions en procédure d'atterrissage, les controleurs sont obligés de maintenir une différence d'altitude de sécurité, ce qui explique les longs vols à très basse altitude des arrivants....

Montauban n'est pas non plus épargnée car, toujours en cas de vents de Sud et d'Est, les avions passent aussi au-dessus de la capitale du Tarn et Garonne, parfois à seulement 1 300 ou 1 500 mètres d'altitude....


Donc, plus de 100 000 habitants sont concernés par le bruit et la sécurité des avions du couloir Nord de l'aéroport de Toulouse.

Et, concernant justement Toulouse, tout a été fait pour éviter les survols du centre ville, ce qui est bien sur normal. Les trajectoires ont été calculées pour gêner le moins de monde possible même si beaucoup malheureusement subissent les nuisances sonores d'une intensité critique.

Cette louable attention doit donc se porter aussi pour les survols à très basses, basses et moyennes altitudes pour les autres tracés des couloirs aériens.

RISQUES =

Il ressort de ce constat, que, en plus des nuisances sonores, ce couloir Nord peut se révéler
« accidentogène » par vents de sud ou d'est.

Quand il n'y a aucune autre possibilité, il est certain que les avions doivent survoler à très basse altitude des villes importantes.

Exemple = Approche d'atterrissage sur Orly.
Mais la grande différence dans ces cas, c'est que les avions volent le plus longtemps possible en altitude et ne passent à 1 000 mètres par exemple que dans les dix derniers kilomètres !

De plus, comme à Roissy, Orly et les autres aéroports, les avions atterrissant et décollant ne se croisent  JAMAIS VOLONTAIREMENT comme pour le couloir Nord de Toulouse !

Imaginez cette même situation de croisement permanente et dangereuse autour d'Orly et Roissy !!! Des avions décollant pour faire un demi-tour rapide, repasser à proximité de ces aéroports et croiser des avions en approche d'atterrissage......


Et en effet, comme déjà dit, ce n'est pas une situation normale pour des avions de ligne de se retrouver souvent à 1 000 ou 1 200 mètres d'altitude alors que les pistes sont encore à 40 km devant eux et parfois à 750 mètres d'altitude à encore près 30 km de l'atterrissage, tout en croisant et en ayant au-dessus d'eux des avions venant de décoller et des avions en altitude.....

Les risques encourus sont réels =

A - Problèmes techniques ou avaries sur un avion provoquant un décrochage ou une perte très rapide d'altitude.

B - Violentes turbulences soudaines avec perte de portance ou placage vers le sol.


C - Erreurs de pilotage dues à une mauvaise compréhension de ce système compliqué ou à un problème de langue.

D - Des petits avions de tourisme ou même des ULM non repérés, volant s'en s'être identifiés ou « égarés » dans le couloir, peuvent croiser un de ces avions en situation « anormale » et provoquer une collision mortelle.

E - Rencontres avec des oiseaux qui peuvent aussi éventuellement provoquer un grave accident.

Il faut savoir que la moitié des accidents se produit lors de l'approche/atterrissage et que c'est lorsque les avions sont près du sol qu'ils sont les plus nombreux.
En effet, la charge de travail des équipages est très élevée et la marge de manoeuvre très faible pour pallier à un problème technique ou à une erreur humaine (56% des accidents).


Et puis pourquoi faire compliqué et anxiogène quand on peut faire simple et sécurisant …...?

Donc, le risque d'un grave accident dans le couloir Nord n'est pas du tout négligeable ou anecdotique.

La suppression du couloir Nord pour les avions décollant de Toulouse permettrait au plus grand nombre de ne plus subir de nuisances sonores aériennes et la sécurité au nord de Toulouse serait nettement améliorée.

IV- SOLUTIONS PAR VENTS DE SECTEURS SUD et EST

PREMIERE SOLUTION =

IL SUFFIT QUE LES AVIONS DECOLLANT EMPRUNTENT LE COULOIR NORD-OUEST AU LIEU DE REVENIR DANS LE COULOIR NORD CE QUI EST ABERRANT AVEC LE BRUIT ET LE DANGER INDUIT PAR L'OBLIGATION POUR LES ARRIVANTS DE VOLER A TRES BASSES ALTITUDES......


                                    

La suppression du couloir Nord pour les avions décollant de Toulouse serait là-aussi très bénéfique.

En effet, les avions décollant, au lieu de faire une petite boucle à l'ouest quand ils sont au sud de Toulouse pour reprendre très vite le couloir Nord, en feraient une toujours à l'ouest pour remonter en passant à l'est de Beaumont de Lomagne et à l'ouest de Castelsarrasin à des altitudes assez hautes donc moins bruyantes.

Faits très importants =

- Il n'y aurait plus les croisements entre les avions décollant pour le Nord et les avions en approche d'atterrissage venant du Nord et de l'Est ainsi que ceux se trouvant en altitude, situation rarissime en France......

- Et les controleurs seraient plus tranquilles pour guider les avions car la situation serait claire, sans avoir à surveiller les croisements en caps et altitudes, les avions décollant pour le Nord partant tranquillement au nord-ouest, sans avoir de trafic inverse. 
Donc, sécurité nettement améliorée !

- DE PLUS, CES AVION VENANT DU NORD PASSERAIENT AU SUD DE MONTAUBAN ET LEURS ALTITUDE EN APPROCHE SERAIENT DONC NETTEMENT MOINS BASSES.
FINI LES 1 000 METRES D'ALTITUDE A PLUS DE 40 KM DE L'ATTERRISSAGE ET SECURITE TRES NETTEMENT AMELIOREE....

Enfin, après un virage à proximité d'Aucamville, ces avions en approche d'atterrissage se présenteraient tranquillement dans l'axe des pistes à encore à une quinzaine de kilomètres.

Quoi de plus simple et sensé.....

SECONDE SOLUTION =

Elle est imagée par la vol Air France AF135XR.
Cet avion à destination d'Orly part donc au sud-est puis vire à l'est (et non à l'ouest) avant de prendre cap au nord.
A titre indicatif, cela démontre d'ailleurs que rien n'est immuable et balaye tous les arguments contre....
C'est donc là-aussi une solution idéale car comme on peut le constater, il n'y aurait plus les croisements avec les avions arrivant par le nord, en approche d'atterrissage.
La sécurité serait renforcée et assurée, ce qui n'est pas le cas actuellement !




4- CONCLUSION =

Les arguments développés ici pour améliorer le bien-être de beaucoup de personnes et pour diminuer le risque d'un grave accident, pourront convaincre la Direction de l'Aviation Civile et le trafic aérien de Blagnac de modifier les tracés pour supprimer ce couloir Nord et :

- pour utiliser en cas de vents de nord ou d'ouest, le couloir Nord Ouest, en ce qui concerne les avions à destination de Orly, Charles de Gaulle, Amsterdam et autres destinations au nord, afin de soulager du bruit une région à forte population.

- pour, par vents de sud ou d'est, aussi éviter les croisements, superpositions d'avions et vols à très basses altitudes afin d'avoir une zone plus sécurisée et pour supprimer le bruit pour un maximum d'habitants.

- pour assurer plus de tranquillité pour les pilotes et les controleurs et plus de sécurité pour les passagers.

Vous pourrez voir les "acrobaties" dangereuses et contraintes des pilotes pour l'aéroport de Nice où, pour diminuer le bruit, on fait des choses insensées ce qui ne serait pas le cas avec les solutions proposées ici.
(cliquez en haut à gauche sur "AEROPORT DE NICE - Le danger").
Donc, qu'on ne dise pas que l'on ne peut pas supprimer le couloir Nord de Toulouse, suppression qui, au contraire, améliorerait nettement la sécurité et diminuerait le bruit pour le plus grand nombre.

Origines du bruit d'un avion =


Le bruit de jet est dû à la génération de fortes turbulences dans la zone où les gaz chauds à haute pression éjectés des tuyères des moteurs se mélangent à l'air ambiant.

Le bruit de jet est un bruit à large bande, sa directivité est maximale à l'arrière

Le bruit des parties tournantes est caractérisé par la présence de fréquences qui se superposent à un bruit à large bande. Ce bruit de fréquences pures est plus marqué à l'avant du réacteur.

Ce sont principalement les turbulences de l'écoulement d'air, ou bien l'interaction de cet écoulement avec des parois (tuyères, volets etc.) qui créent du bruit.

Ces phénomènes engendrent en effet des variations de pression dans l'air qui génèrent des ondes sonores de fréquences variées.

Celles-ci sont de forte intensité et se propagent en rayonnant sur de grandes distances (plusieurs kilomètres).

Il est donc facile d'imaginer le bruit généré en altitude par de l'air circulant à grande vitesse sur certains éléments de l'avion.

Chaque cavité de l'avion fera "résonner" l'air qui le traverse.

L'air circulant autour des avions voit son mouvement progressivement devenir aléatoire dans une zone de faible épaisseur.

Ces perturbations se transmettent elles aussi dans l'air sous forme de son.

Ces phénomènes constituent les bruits dits "aérodynamiques".




 

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